Une première critique pour Le Piano Aphone

Quelques semaines avant la sortie de mon roman, plusieurs sites et blogs littéraires se sont manifestés auprès de mon éditrice pour le chroniquer.

La première critique vient de paraître et j’ai la grande joie de vous la partager. Celle-ci est très encourageante ; son auteur, la blogueuse Vanou, qualifie Le Piano Aphone de coup de cœur !

Je vous la livre en substance :

Le Piano Aphone – Coup de cœur-

Un grand merci à la maison d’édition Lune Ecarlate pour m’avoir fait découvrir cet O.V.N..I littéraire.

Oui oui, vous avez bien entendu, un O.V.N.I ! Dès la première page l’auteur m’a aspiré dans son imaginaire totalement déluré.

Je me croyais en pleine lecture d’une adaptation d’un film de Tim Burton. Pierre Benazech utilise une plume métaphorique très efficace pour nous entraîner dans les coins et recoins de son univers décalé. Il joue avec les mots pour nous inventer des sucreries délicieuses telles que « Météorites confites, anneaux de Saturne au sucre glace, pralines aux trous noirs, satellites enrobés de Voie Lactée ou nappés de chocolat, nébuleuses fruitées, ou encore comètes à chevelures caramélisée ». On apprend aussi pourquoi il y a des cratères sur la Lune… et vous me croiriez si je vous disais que c’est la faute d’un maître chocolatier? Ici on est dans le fantastique pur, l’onirique même. On se croirait dans un rêve d’enfant, où chaque banalité devient incroyablement intéressante. On dort dans un Anaconda Hôtel, on devient ami avec un fantôme, on prend un bus Coccinelle… Et tout cela avec un naturel déconcertant. J’avais l’impression d’être Le Petit Prince de Saint Exupéry et de croiser sur mon chemin, tout comme lui, des êtres à part.

Pierre est un lycéen (au début j’ai eu du mal à le situer au niveau de l’âge) qui s’endort dans le train pour rentrer chez lui à C. (je crois que c’est la ville de Castres mais je peux me tromper…). A son réveil, il est au terminus semble-t-il et il a donc raté son arrêt. Le voilà arrivé à la gare des Ames et c’est ici que démarre son long voyage qui le ramène chez lui…ou pas. Un voyage interstellaire en compagnie de Perhaps, le fantôme amnésique et accessoirement mon personnage préféré.

C’est un roman court donc il serait dangereux d’en révéler davantage.

Je le conseille aux amoureux des mots, aux adeptes des champignons hallucinogènes (ici point besoin d’en consommer pour se retrouver sur une autre planète), aux enfants (12 ans conseille la maison d’édition, mais il serait amusant de le lire à des plus jeunes et de leur demander d’en dessiner les illustrations…), et aux adultes qui ont su préserver suffisamment de leur innocence pour apprécier d’être transportés dans des contrées lointaines, colorées et poétiques.

Pierre Benazech nous livre ici, un petit instant hors réalité, hors du commun.

— Vanou

Ces lignes sont très émouvantes pour votre serviteur, encore jeune écrivain…

Je vous invite à visiter le blog de Vanou qui est une véritable bibliophage !


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